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MAIS UMA DE JOÃO : Como fez Cássio ao optar por RC em 2010, mais um aliado tucano ‘escanteia’ projeto de candidatura de Cícero e confessa vontade de ser vice de Agra

REVIRAVOLTA: deputado tucano escanteia Cícero, reconhece força socialista e revela pela primeira vez querer ser o vice do grupo que o derrotou na Capital O mundo da política é bastante dinâmico e proporciona aos admiradores… MAIS UMA DE JOÃO : Como fez Cássio ao optar por RC em 2010, mais um aliado tucano ‘escanteia’ projeto de candidatura de Cícero e confessa vontade de ser vice de Agra

QUINHA :Um exemplo de vida (confira)

 

A “mulher do tamborete” foi batizada de Ângela Maria da Silva, acha lindo o nome recebido, e é conhecida no bairro do Coque como “Quinha”. Apelido de infância. “Nasci para ser cantora”, diz a vendedora de banquinhos de madeira. A mãe sonhou com o estrelato desde que Ângela Maria se entende por gente. A fama acaba de chegar para ela, aos 44 anos. Mora na Favela do Papelão (Coque), periferia das mais pobres do Recife, a mais nova celebridade da internet.

QUINHA :Um exemplo de vida (confira)

SÁBADO ALEGRE

JOSÉ, OH JOSÉ!!! José, caminhoneiro, passou muito tempo viajando e chegou em casa de madrugada. Como estava com saudade, correu pro quarto, agarrou a esposa e fez amor com ela três vezes. Quando acabou foi… SÁBADO ALEGRE

LA POLICE DE MONTRÉAL TUE ENCORE (RobertBibeau)

Mardi, le 7 juin 2011, 6h 40 le matin au centre ville de Montréal, un homme chétif sans domicile fixe (SDF), 40 ans de misère dans ses jambes tremblantes, seul au monde et presque seul sur le macadam à cette heure matinale, s’échine à éventrer des sacs à ordures pour y récupérer quelques bouteilles vides; c’est le commerce lucratif de la récupération pour paumé. Le petit homme (sans abri) est « lourdement » armé d’un canif de scout mal affûté, et il vocifère contre la résistance des sacs poubelles, récalcitrants à lui livrer leurs précieuses marchandises pour pauvres démunis.

Quatre jeunes et gros policiers, bardés de leurs ceintures de sécurité, protégés par leur veste plombée, révolver au poing, prêts à tirer sur ce famélique « terroriste » du petit matin, encerclent le mécréant abasourdi…l’homme n’obéit pas immédiatement à leur commandement : c’est évident ce gars malade est une « bombe à retardement » avec son canif élimé incapable de déchirer un sac à ordure émincé.

Sans hésitation les quatre cow-boys du SPVM déchargent leurs armes mortelles sur le petit intimé très menaçant pour leur sécurité; ils ne tirent pas pour le blesser – à la hauteur des jambes pour le faire plier à leur quatre volontés – non, les quatre shérifs tirent en plein thorax pour tuer la frêle « bombe à retardement » qui s’écroule mortellement atteinte par au moins deux projectiles de fort calibre. Les agents de l’ordre tirent en désordre tant et si bien qu’un travailleur se rendant à son boulot, passant par là inopinément, est tué sur-le-champ une balle dans la nuque. Heureusement, c’était le seul passant présent. Les policiers ont bien cherché mais tous les témoins gênants s’étaient barrés ou dormaient paisiblement.

LA POLICE DE MONTRÉAL TUE ENCORE (RobertBibeau)