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Blog do Vavá da Luz

LA FIN DE LA CRISE ÉCONOMIQUE ! (Robert Bibeau)

RÉSUMÉ

Nous terminons notre tour d’horizon de la crise économique souveraine en pays impérialiste. Dans les trois premiers articles de cette série nous avons étudié la Chine en ascension, l’Europe en contorsion, les États-Unis en prostration, l’Afrique sous spoliation et les peuples du monde sous exploitation. Quelle conclusion peut-on en tirer ? (1) Avant de tirer notre épilogue, nous passerons en revue quelques solutions de compromission que nous proposent tous ceux qui souhaitent sauver les banquiers et leurs affidés du Congrès, de l’Hémicycle ou de l’Assemblée.  

LA RÉVOLTE GRONDE – C’EST LE HOQUET DE LA FIN !

Ils sont tous là, tous les courants « progressistes » autoproclamés, les gauchistes colorés et la mouvance trotskyste, les Verts altermondialistes et les groupements citoyens pacifistes, les féministes acharnées à surveiller la musulmane voilée mais indifférentes au sort réservé aux adolescentes kidnappées pour être vendues sur le marché de la viande à prostituer ; ils sont tous recueillis derrière Noam Chomsky, pamphlétaire libertaire, Jacques Attali plénipotentiaire arriviste, Mélenchon l’opportuniste, Hollande le sous fifre comme ses amis du NPD canadien, ainsi que Marine Le Pen la populiste, alors que Ron-Paul-2012, candidat « d’extrême gauche » à l’investiture du Parti Républicain d’extrême droite ferme le cortège.

L’unité des forces de la « résistance » populaire, citoyenne, démocratique, pacifiste et indignée étant enfin réalisée, le capital effrayé devrait normalement abdiquer dans ses visées de décharger sur le dos des ouvriers et des peuples affamés le fardeau de la crise financière, boursière et monétaire enclenchée depuis quelques années (2008).

Oh que non ! Le capital ne reculera pas, il en remettra, insoumis, prédit Chomsky. Pour lui, la cause est entendue, le capitalisme va mal il faut l’aliter ; les riches sont trop cupides, il faut les raisonner ; les politiques sont trop insipides, il faut les confronter ; tous ceux-là sont trop sots pour comprendre qu’à trop vouloir en prendre ils perdront tout, pleure le professeur (2). Chomsky s’insurge : « Ce n’est pas la dette publique le problème de l’Amérique, c’est le chômage. ». C’est vrai, la dette souveraine est l’enfant du chômage régent. Mais d’où origine le chômage – quel sorcier a inventé cette calamité ? Réponse : le capitalisme, monsieur Chomsky, c’est le capitalisme qui requiert par intermittence des millions de chômeurs en itinérance.

POUR  LIRE  LA  SUITE  DE  L’ÉDITORIAL  »»»»»»»  http://les7duquebec.com/2012/03/07/la-fin-de-la-crise-economique/ 

http://www.robertbibeau.ca/palestine.html

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