junho 11, 2011

Ricardinho não agüentou o cheiro bom do pão e falou: – Pai, tô com fome!!! O pai, Agenor , sem ter um tostão no bolso,… Continue a ler »LEIA E REFLITA : Pai, Tô com fome !

Na foto acima podemos ver o NECESSITADO proprietário de alguns bens materiais ex-vereador TOTA NUNES tirando sem o menor pudor da boca de quem realmente… Continue a ler »O PROGRAMA DO LEITE RECADASTRA CARTELAS EM INGÁ

JOSÉ, OH JOSÉ!!! José, caminhoneiro, passou muito tempo viajando e chegou em casa de madrugada. Como estava com saudade, correu pro quarto, agarrou a esposa… Continue a ler »SÁBADO ALEGRE

Uma professora de 38 anos foi presa, nesta sexta-feira (10), sob suspeita de ir com um aluno de 15 anos a um motel em Barra… Continue a ler »XIFRE ELETRÔNICO :Usando GPS do carro,marido descobre esposa no motel transando com menino se 13 anos

Em geral, o Nordeste é visto apenas como uma região pobre, com secas periódicas no Sertão, com a migração de nordestinos para outras regiões do… Continue a ler »NORDESTE : Se somos discriminados por que não nos tornemos independentes ? (Prof. Marciano Dantas)

Mardi, le 7 juin 2011, 6h 40 le matin au centre ville de Montréal, un homme chétif sans domicile fixe (SDF), 40 ans de misère dans ses jambes tremblantes, seul au monde et presque seul sur le macadam à cette heure matinale, s’échine à éventrer des sacs à ordures pour y récupérer quelques bouteilles vides; c’est le commerce lucratif de la récupération pour paumé. Le petit homme (sans abri) est « lourdement » armé d’un canif de scout mal affûté, et il vocifère contre la résistance des sacs poubelles, récalcitrants à lui livrer leurs précieuses marchandises pour pauvres démunis.

Quatre jeunes et gros policiers, bardés de leurs ceintures de sécurité, protégés par leur veste plombée, révolver au poing, prêts à tirer sur ce famélique « terroriste » du petit matin, encerclent le mécréant abasourdi…l’homme n’obéit pas immédiatement à leur commandement : c’est évident ce gars malade est une « bombe à retardement » avec son canif élimé incapable de déchirer un sac à ordure émincé.

Sans hésitation les quatre cow-boys du SPVM déchargent leurs armes mortelles sur le petit intimé très menaçant pour leur sécurité; ils ne tirent pas pour le blesser – à la hauteur des jambes pour le faire plier à leur quatre volontés – non, les quatre shérifs tirent en plein thorax pour tuer la frêle « bombe à retardement » qui s’écroule mortellement atteinte par au moins deux projectiles de fort calibre. Les agents de l’ordre tirent en désordre tant et si bien qu’un travailleur se rendant à son boulot, passant par là inopinément, est tué sur-le-champ une balle dans la nuque. Heureusement, c’était le seul passant présent. Les policiers ont bien cherché mais tous les témoins gênants s’étaient barrés ou dormaient paisiblement.

Continue a ler »LA POLICE DE MONTRÉAL TUE ENCORE (RobertBibeau)